vendredi 11 janvier 2008

Détection du cheval malade

Détection du cheval malade

- Connaitre les habitudes des chevaux

- Litière bien étalé, état du box

- Etat des crottins (humide, moulé et vert)

- Vérifier l’abreuvoir

- Cheval calme (transpiration, état des muqueuses)

- Vérification des membres (engorgement, atteintes, abcès, chaleur des membres)

- Vérifier l’état des fers.

- Vérifier la souplesse du dos.

Vérifier le passage de sangle, le garrot et les commissures des lèvres. Ces problèmes sont causés par un matériel sale et mal adapté.

1er Vérifications :

- Prendre la température (37,5 à 38°c) : toujours avec quelqu’un à la tête.

- Prise de pouls digité (on ne doit pas le sentir si le cheval va bien) : à l’artère maxillaire pour la pulsation cardiaque, aux artères digitées pour chacun des 4 pieds. Le pouls digité ne se sent normalement pas , sauf sur un cheval ferré de frais. Son existence signe donc un problème de pied plus ou moins grave : du simple abcès à la fracture ou à la fourbure gravissime.

- Fréquence cardiaque (36 à 44 battements/minute au repos) : compter les pulsations sur 15 secondes et multiplier par 4. Recommencer au besoin pour faire une moyenne. S’écoute derrière le coude gauche ou se prend à l’artère maxillaire. Adulte : varie selon l’entraînement et l’exercice de 36 à 44 bpm.

- Fréquence respiratoire (12 à 18 respirations/ minute prise de pouls au flan) : compter sur 15 secondes et multiplier par 4. Plus facile en regardant le fuyant du flanc, et si quelqu’un vous donne un top. Avec un stéthoscope, écouter sur la trachée. Adulte : 12 à 18 mpm.

- Ecouter le transit : 4 zones à vérifier : en haut et en bas, à gauche et à droite. Doit être présent en régulier partout. La défécation n’est pas une preuve absolue de transit.

- Pli de peau (désidratation)

- Muqueuse rose (appuyer sur la lèvre inférieur, elle doit rosir aussitôt) : à l’intérieur des lèvres, à la 3ème paupière et muqueuse vaginal des juments (dangereux). Normalement : rosées et humides ; si violettes, bleues, blanches, porcelaine, jaunes, oranges ou même roses à points rouges : problème grave.

- Pince à sonder pour les sabots

-

Ramener un cheval sec et calme

Prendre la température et écouter le transit

Isoler si risque contagieux

Appeler le vétérinaire si les symptômes sont importants ou qu’ils durent.

Histoire

L’histoire de l’équitation

Quelques dates :

- -426 av JC :

o Xénophon d’Athènes

§ art équestre

- 17em siécle :

o Pluvinel (1556-1606)

§ Cheval en avant

§ Livre : Airs relevés

- 18em siècle :

o La Guérinière (1688-1751) manège des Tuileries

§ Epaule en dedans

§ Livres : « Ecole de cavalerie », « Eléments de cavalerie »

- 19em siècle :

o Comte d’Aure (1799-1863) Manège de Versailles puis école de Saumur

§ Dressage du cheval dans son ensemble

§ Livres : Traité d’Equitation

o François Baucher (1796-1873) école de Paris

§ Cession de nuque, mâchoire, encolure

§ Livres : « Méthode d’Equitation basée sur les nouveaux principes »

- 20em siècle :

o Alexis l’Hotte (1825-1904) élève des deux précédents. Ecole de Saumur

§ Calme en avant et droit

§ Livre : questions Equestre

o De Carpentry (1878-1956)

§ Conquête de l’impulsion, abaissement des hanches

§ Livre : Equitation Académique

o Caprilli (1868-1907)

§ Monte en avant à l’obstacle

o Danloux

§ Position du Z

Le cheval, conquête de l’homme, a nécessairement suivi celui-ci dans tous les stades de son évolution.

Il est probable, et les textes classiques depuis la bible et Xénophon le démontrent, que l’art de dresser les chevaux, d’abord pour l’utilité de la guerre ou de la chasse, ensuite pour le plaisir, conduit inévitablement à ce constat : « de la douceur avant toute chose ».

La succession des nombreuses écoles de dressage depuis l’antiquité raconte cette longue marche de la brutalité des instruments de coercition (contraintes) étonnants, voyez les mors au musée de Saumur, jusqu’à cette douceur des moyens dont l’Ecole Française, à juste titre, s’enorgueillit depuis la Guérinière parce qu’elle procure au couple cavalier-cheval, ce qu’il faut avant tout pour priser l’harmonie.

L’amateur qui consulte la très belle anthologie de la littérature équestre de Paul Morand est frappé par les variétés et l’étrangeté des procédés dont nos ancêtres soulignaient l’emploi comme propice à obtenir un parfaite soumission.

L’école Napolitaine

Celle-ci remonte fort loin dans le passé. En effet, au 8éme siècle avant notre ère, la région napolitaine, la Companie, voit débarquer les colons grecs de grande renommée cavalière :

- Les Hippobotes (nourrisseurs de chevaux)

- Les Etrusques (originaires des Balkans)

Progressivement, ces colons deviendront les cavaliers campaniens. Nous les retrouverons au début du moyen âge. Entre temps, les principes de l’équitation avaient été formulés pour la 1er fois par un cerveau grec : Xénophon d’Athènes et son Art Equestre sur les principes desquels nous vivons encore. Tous les auteurs modernes reconnaissent la valeur de base de la formulation grecque (d’Aure, Decarpentry, Henriquet, …)

L’empire romain d’Occident s’écroule au 5em siècle. Au siècle suivant, l’empire romain d’Orient (les byzantins) reconquiert une partie des provinces perdues. Les Byzantins reperdront progressivement certaines provinces, mais se maintiendront assez longtemps, jusqu’au 12éme siécle au Campanie.

Bien entendu, les Byzantins avaient aussi gardé la tradition de la Grèce antique et les principes de Xénophon.

Au 12ème Siècle, l’homme de cheval disposait :

- De la ferrure à clous

- De la selle et de l’étrier

- Du double mors

- Des éperons

De la rencontre des cavaliers campaniens et des écuyers byzantins va naître en 1134 à Naples une académie d’2quitation que l’on suit à la trace jusqu’à la renaissance italienne (15ème siècle)

La Renaissance :

Jusqu'à la Renaissance, qu’il s’agisse de Cesare Fiaschi, auteur du 1er traité des Embouchures, de Féderico Grisare ou même de Samon de la Broue qui a écrit « Le Cavalier Français3, la sévérité des procédés fait dresser les cheveux sur la tête.

Le XVII siècle :

Richelieux démantèle les châteaux, symboles de la puissance féodale et néglige l’élevage. Monsieur de Pluvinel, maître de Louis XIII, a recours aux races étrangères. Il invente le travail entre deux piliers et l’usage de la chambrière, mais recommande la douceur.

M. De pluvinel (1556-1605)

- Persade - Ballotade

- Ruade - Cabriole

- Courbette

Pour conserver coûte que coûte la gentillesse, c’est toutefois toujours la récompense après le châtiment qui permet de ménager les bonnes grâces du Seigneur Cheval.

M. De Pluvinel énonce cette vérité première : « le cheval doit être en avant »

C’est à partir de son influence que l’empirisme limité au bon usage d’une monture de guerre ou de chasse se dépasse et tend à s’élever au niveau du raisonnement et de l’art, établissant les fondements d’une véritable esthétique.

Le XVIII

Et les liens pour les biographies des cavaliers célébres :
http://pagesperso-orange.fr/mbigo/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

Le XIX

Vers 1814, Saumur va connaître son essor où vont se heurter, au départ, les élèves indirects de Versailles et des disciples de la nouvelle doctrine enseignée par l’Auvergne à l’Ecole militaire. Le 19ème siècle sera le siècle de l’affrontement de deux grands maîtres : D’Aure et Baucher.

La conclusion de cet affrontement sera tiré par le Général l’Hotte à la fin du 19ème et par Decarpentry durant la 1er moitié du 20ème siècle.

L’impulsion doit avoir pour le cheval dressé l’intensité lancinante d’un besoin physique impériexu et permanent.

Plus un procédé est puissant, plus les dangers de son application sont grands. Ce n’est pas le relèvement de l’encolure, c’est l’abaissement des hanches qui est le but à atteindre.

La Révolution du début du XXème siècle :

La fin du 19ème à vu l’essor de l’équitation sportive (après 1870) : point to point, steeple, cross, raids, concours de sauts.

Le cheval devenait un compagnon de sport, c’est l’époque du Caprillisme. Caprilli : officier italien qui élabore le système de monte en avant à l’obstacle et ouvre la voie à l’équitation moderne d’extérieur.

Entre les deux guerres mondiales, les cavaliers militaires français étaient parmi les plus brillants du monde, c’est la grande époque des de Laissardière, Bizard, Clavé … Il faut noter que teus ces cavaliers militaires ne sont pas issus de Cadre Noir car la méthode de monte à l’obstacle officialisée par Danloux, écuyer en chef, nuit à la solidité et à l’efficacité. « seuls,ceux qui ont appliqué le principe contraire à la doctrine Danloux, ont réussi » (Gudin de Vallerin).

Après la guerre 39-45, la motorisation, les différents conflits et certains errements techniques font que, à part quelques exceptions hors Cadre Nori, l’équitation militaire est en régression. Fontainebleau devient le centre des sports équestres militaire.

Ce sont les civils qui prennent le relais avec d’Orgeix, d’Oriola, de Maillé, … . Ils seront suivis par : Rozier, Roche, Roguet, Parot, Navet, …, d’Esmé en dressage, le Goupil en CCE

Parallèlement à cette équitation de haut niveau de plus en plus de civile, la France des centres équestre prend son essor progressivement à partir des années 50 avec la création des SHR, SHU, SHN et avec l’aide importante de l’armée et surtout des haras nationaux.

On peut dire que les années 70 marqueront vraiment le début d’une certaine démocratisation de l’équitation avec :

- Le développement et la création de Centres Equestres de plus en plus exploités par des indépendants.

- L’apparition des poneys clubs

- Le développement du Tourisme Equestre

- Le retour à la mode d’un certain nombre d’activités : jeux, voltige, l’attelage, les raids, …

Les handicapés

Les handicapés

30 % des handicapés sont d’origines accidentelles.

800 000 allocataires de l’allocation des adultes Handicapé

500 000 Pensions d’invalidité

135 000 Scolarisation normal

110 000 Scolarisation spécialisé

100 000 sont dans des centres médico-sociaux

1/3 sont au chômage

Classification internationale (Organisation Mondiale de la Santé OMS)

- Déficience : perte de substance ou altération d’une fonction ou d’une structure psychologique, physiologique ou anatomique

- Incapacité : correspond à toute réduction résultant d’une déficience partielle ou total de la capacité d’accomplir une activité d’une certaine façon ou dans les limites considéré comme normal pour l’être humain.

- Handicape (désavantage sociale) : est le préjudice qui résulte de sa déficience ou de son incapacité et qui limite ou interdit l’accomplissement d’un rôle, considéré comme normal contenue de l’âge, du sexe et du facteur sociaux culturel).

Exemple :

- Déficience : amputation d’une jambe

- Incapacité : problème pour se déplacer

- Handicap : mobilité réduite, problème d’intégration social

Loi de 1975 : Art 1 : La prévention est le dépistage des handicapés, les soins, l’éducation, la formation et l’orientation professionnel, l’emploi, la garantie d’un minimum de ressource, l’intégration social, l’accès au sport et au loisir du mineur et de l’adulte ? Handicapé physique sensoriel ou mentaux constitue une obligation national.

Droit au loisir, soins, travail, éducation.

- L’éducation : Art 22 de la déclaration des droits de l’homme. « L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tous son pourvoir les progrès et mettre l’instruction à la porté de tous citoyens. »

1975 : maintient en milieu normal

- Loisir : le sport et le loisir ont été considéré comme un luxe, mais l’intégration est de plus en plus souhaité par les handicapés.

- Soins : nécessité

- Travail : le succès de l’insertion professionnel pour les personnes handicapés conditionne leur insertion dans la société. Le travail occupe une place importante dans la société.

Handicapé moteur :

Limitation plus ou moins grave de la mobilité, c’est à dire de la faculté de se mouvoir, mais aussi de celle d’agir notamment aux moyens de ses membres supérieurs.

Localisation de l’atteinte :

- Monoplégie : 1 membre paralysé

- Diplégie : 2 ‘’ ‘’

- Tétraplégie : 3 ‘’ ‘’

- Quadriplégie : 4 ‘’ ‘’

- Hémiplégie : 1 côté

- Paraplégie : 2 membres inférieurs

Les origines du handicap moteur :

- Cérébrale : infirmité motrice cérébral, difficultés de coordinations entrainants des difficultés motrices. Causes diverses : accident lors de la période fœtal.

- Spina-bifiona : polio : attaque par un virus de ma moelle épinière, entraine une paralysie plus ou moins étendu

- Spina-Bifida : atteinte de développement de la colonne : paraplégie

Handicap musculaire : myopathie ou dystrophie musculaire progressive, se traduit par un affaiblissement progressif (motricité).

Les principales aides techniques : tous les moyens externes de compensation du handicap. L’aide technique est un outil, un appareil, ou un instrument allant du plus simple au plus haut niveau technologique.

Trois catégories :

1) Les orthèses : dispositif ou appareil permettant des correction grâce auquel une fonction peut être normalement rempli (ex : corset, chaussures orthopédique, …)

2) Les prothèses : remplace un organe absent

3) Auxiliaire d’ambulation : cannes, béquilles, fauteuil, …

Handicap sensoriel :

Handicap visuel : non voyant : personne ayant une visions nul ou quasi-nul (>1/20 après correction)

Mal voyant : (amblyope) vision mauvaise entre 1/10 et 4/20 après correction

Nature des attentes (amétropie) myopie, presbytie, astigmatisme, déformation du fond de l’œil, rétine nerf optique

Aides techniques : opération

Le handicap auditif : perte auditive >= 90 décibel

Sourd : surdité de transmission : altération de l’oreille moyenne (otite chronique)

Surdité de réception : altération de l’oreille interne

Surdité mixte : les 2

Mal entendant : accède au langage parlé mais plus ou moins perturbé par l’auditif

Aides techniques : langage des signes : langue à part entière (mains, visage, corps), appareil auditif.

Dactylologie : langage gestuel, alphabet donnant un code des correspondance entre chaque lettre de l’alphabet et aux positions des doigts de la main.

Oralisassions : apprendre à n sourd à parlé, reconnaitre la parole, lecture labiale

Amplification : miniaturisation des appareils auditifs.

Handicap intellectuel : sont définit au référence mental après évaluation du QI

- Retard mental profond : QI<20,>

- Retard mental sévère : 2034 : individu pouvant apprendre les gestes simple.

- Retard mental moyen : 3549 : pouvant acquérir des moyens simple de communication, des habitudes d’hygiènes et de sécurité élémentaire, habilité élémentaire simple. Aucune notion d’arithmétique, de lecture.

- Retard mental léger : 5070 aptitude pratique, la lecture ainsi que des notion d’arithmétique grâce a une éduction spécialisée et que l’on peut amener à une certaine autonomie social.

L’état de la recherche ne permet pas de dire les causes du retard pour les Retard mentaux profond, sévères ou moyens : cause organique prévale.

Pour les Retard mental léger : cause phycologique, sociaux économique et culturel.

L'accueil

L’accueil

Bien accueillir : cerner ses besoins et lui proposer une réponse adapter

1er contact :

L’écoute est une phase d’accueil, l’acquiescement et la reformulation, c’est l’écoute active.

La prise de congés doit permettre de récapituler les engagements.

L’accueil que nous faisons aux clients est important, c’est le 1er contact, c’est celui qui marquera le plus longtemps le client. C’est un acte quotidien. Il est déterminant dans la représentation de la personne et de son institution que l’on représente.

Passage entre une situation passé et avenir. Fonction personnel, bénéfique pour la personne accueillit.

Reception administrative

Bureau indiqué (accueil, reception, secrétariat), téléphone (standard, avec un message sur le répondeur)

Parking propre

Indication d’orientation dés le parking

Bureau propre, chaleureux (plante, canapé) lumineux, assez grand, rangé, non fumeur

Affichage obligatoire, disposition des publicités

Accueil Physique (propre à nous)

Paraître, sourire, tenue vestimentaire

Attitude : être ouvert, aller au devant le la personne, disponible, être à l’écoute, savoir se que la personne à besoin. Cibler ses désires.

Quatre phases d’accueil :

1- Prise de contact : moment de présentation de soi et présentation de la structure

a. Caractéristiques : courte, immédiate, sympathique

b. Techniques : sourire, serrer la main, se définir

2- L’écoute :

a. Caractéristiques : active et attentive

b. Techniques : le regard, ne par couper la parole, questionner, acquiescement et reformulation

3- La réponse :

a. Caractéristiques : concise, adapté, clair, rapide, réponse honnête et positive

b. Techniques : connaitre les services, sélectionner la réponse adaptée, proposer des solutions alternatives, éclaircir et résoudre les objections.

4- La prise de congé :

a. Caractéristiques : amiable, cardial, courte, positive

b. Techniques : reformulation, récapitulation, formule de politesse

L’accueil est une action quotidienne et personnalisé

Connaitre les prénoms ou les noms des clients

Club house :

Propre, chauffé, accès visuel aux structures, mise à disposition des boissons, confortable, décoré.

Sanitaire :

Indiqué et propre

La communication

La communication

La pédagogie est l’art de transmettre des connaissances, mais la transmission seul des données n’est rien, il faut qu’elle soit comprise par l’enseigné. Se faire comprendre de son élève peut s’avérer difficile. La communication comporte 2 visées distinctes :

- Transmettre un savoir

- Définir une relation juste entre les interlocuteurs

Pour communiquer correctement il est nécessaire d’avoir des connaissances sur le public que l’on a en face de soi. Mais il faut aussi se connaitre soi-même.

Intérêt d’une bonne communication.

Le métier d’enseignant c’est d’avoir la diversité de connaissance et d’aptitude. L’enseignant doit avoir des compétences technique et pédagogique s’ajoute d’être un bon psychologue. Avoir de l’aisance dans les rapports humains, et de posséder des talents d’animateur.

Qualité humaine

Rester intègre et juste, avenant, disponible, d’humeur égale. Il faut avoir une parfaite maitrise de la communication, puisque l’acte pédagogique est de transmettre des connaissances et des techniques.

Communiquer ne peut se rapporter à un simple processus d’émission suivi de l’exacte réception de l’auditoire.

L’état émotionnel de l’enseignant, sa personnalité mais aussi celles de ses élèves, plus ou moins réceptif, ou des événements extérieurs peuvent faire obstacle à la communication.

La personnalité de l’enseignant peut apporter une distorsion dans l’information qu’il exprime.

La conception d’une notion ou d’un geste qu’il veut enseigner et nécessairement subjective.

L’enseignant sera plus ou moins habile à employé le mot ou le geste à traduire en sa pensé, à suivre l’enchainement logique de son enseignant.

L’élève est plus ou moins réceptif en fonction de l’âge, de la qualité physique, saturation et même s’il a écouté ou regardé attentivement il ne peut pas comprendre le message de l’enseignant.

70 % de prise de message lors d’une séance

Enfin les explications et démonstrations de l’enseignant peuvent être trouvées par un certain nombre d’événement étranger à la leçon.

mardi 1 janvier 2008

Liens Réglement et Cavaliers

Voici le lien pour le reglement 2008 : http://www.ffe.com/?cat=3&fic=/sport/reglements/projet_2008.html

Et les liens pour les biographies des cavaliers célébres :
http://pagesperso-orange.fr/mbigo/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

bonne recherche

mercredi 5 décembre 2007

Cours BPJEPS Equitation

LA SECURITE

La sécurité active :

- Cheval adapté (taille, niveau, caractères)

- Niveau de l’exercice

- Dispositif

- Règles de sécurité :

o A pied : ne pas passer derrière, …)

o A cheval : distance, ne pas doubler ne pas crier, ne pas s’agiter,…)

- Port de la bombe

- Vérifier le matériel

- Fermer les portes

- Enlever les fiches sur les chandeliers

- Ranger le matériel

- Distance de sécurité

- Limiter le nombre d’assistant (ne pas se mettre en danger)

- Tenue du cavalier (éviter les shorts)

- Adapter la séance à l’environnement (météo, espace de travail, bruit extérieur, …)

La sécurité passive :

La sécurité passive concerne plus l’employeur et la structure

- Etat des carrières (sol, lice, …)

- Pare-bottes

- Etat sanitaires des chevaux

- Libérer les voies d’accès pour les secours (plan de la voie d’accès)

o Extincteur, systèmes Alarme de fumées

o Trousse de secours

o Brancard

- Commission de sécurité (Vérification des normes, pompiers, vérification de l’électricité des panneaux d’interdiction de fumer

- Le circuit piéton doit être séparé du circuit motorisé.


ASSURANCE

Le club à un devoir d’information mais pas d’obligation

Cavalier club :

- Responsabilité Civil : responsable de se que l’on fait, être responsable du public que l’on encadre. Attestation de Responsabilité civil

o La licence FFE et obligatoire pour les pratiquant, le passage des galops et la compétition

o Un régime social : numéro de sécurité social

o Une mutuel complémentaire

Cavalier propriétaire :

- Responsabilité civile pour le propriétaire et le cheval

- Livret du cheval

- Contrat

- Règlement intérieur

- Décharge pour les soins véto

- Port de la bombe

- Transport (accord entre le proprio et le conducteur)

- Décharge pour le cheval au pré

Tableau d’affichage

- Diplôme des enseignants

- Numéros de téléphone (pompier, SAMU, …)

- Plan de la structure

- Règlement intérieur

- Tarifs et prestations possible

- Chartre de qualité d’école d’équitation : E.F.E (accueil, peda, soins véto, qualité)

- Contrat d’assurance : Responsabilité civil et attestation de R.C.

Où s’informer

R.E.F. + Site internet : fourni par la FFE

Journal Officiel

Groupement Hippique National : GHN (info sur le fiscal, social, comptable et juridique)


Continuer à se former

FFE

CRE

(Technicien, Equitation)

CDE

Passer le permis poids lourd

Centre de formation prof pour adulte : CFPPA

CFA

Jeunesse et Sport : Insep, ENE, Creps

GHN

HN

CRE

Ecole Nationale d’Equitation

L’ENE représente :

- Prestige : Maintien et le rayonnement de l’équitation française (40 cavaliers)

- Formation :

o BE2

o Grand panel de formation BP

o Echange entre les pays

- Compétition

- Recherche

- Bibliothèque

- Pôle France


Développement de l’habilité des cavaliers

Avant :

- Explication

- Démonstration

Aujourd’hui :

- Proposition de situation de résolution de problème : mettre l’apprenant dans un riche contexte d’apprentissage.

1- Problématique à laquelle le cavalier est confronté

2- Emergence des principes fondamentaux (avancer, tourner, s’équilibrer)

3- Pédagogie par objectifs (permet de structurer les progressions d’apprentissage)

Le va et vient de l’échange pédagogique fluctuant, sinueux et original échappe à la pédagogie des cadres préétablis

Les fondamentaux : permettent de classifier les habilités des cavaliers et des tâches qui peuvent leur être proposées.

La tâche est considérée comme correctement réalisée par l’élève que lorsque le but est atteint dans les conditions fixées en respectant les procédures.

Le résultat espéré doit être identifiable est mesurable (observable)

Volume de travail en fonction de la progression dans la l’apprentissage :

S’EQUILIBRER

AVANCER

TOURNER


Equilibre

Propulsion

Direction

Galop 1 Galop 2 Galop 3

Le débutant consacre une grosse partie de son énergie à rechercher son équilibre. C’est le passage de la station verticale à un équilibre à califourchon.

Plus le cavalier progresse dans son équilibre, on pourra s’intéresser de plus en plus aux autres composantes.

S’équilibrer

Au trot enlevé trot en équilibre au trot assis

Avancer tourner

Entretenir l’allure, Conduire sur le plat

Changer d’allure et d’amplitude, Conduire en sautant

Sauter Déplacer la monture

Les objectifs d’apprentissage sont l’ensemble des actions qui rendent possible une réalisation efficace des niveaux proposés. Ils permettent de planifier et de programmer l’action pour :

- que l’action motrice soit efficace

- une progression constante

Galop

S’équilibrer au trot enlevé

1

Trotter enlevé en rythme

2

Rechercher son équilibre au Trot Enlevé

3

Trotter sur le bon diagonale

4

Rechercher son équilibre avec des variations de vitesse et de direction

5

Trotter enlevé sur des variations de terrains

Equilibre :

- Galop 1à 4 : s’équilibrer à cheval

- Galop 4 à 7 : s’équilibrer avec son cheval

- Galop 7 et + : équilibrer son cheval

Avancer :

- Galop 1à 4 : contrôler l’allure et la vitesse

- Galop 4 à 7 : Maitriser l’équilibre de son cheval dans le déplacement

- Galop 7 et + : Sens du train, du rythme de l’abord, amélioration de l’allure du cheval

Tourner :

- Galop 1à 4 : changer de direction, préciser un tracé

- Galop 4 à 7 : contrôler les épaules et les hanches pour préciser sa conduite et maitriser leur action propulsive

- Galop 7 et + : Améliorer le contrôle de l’incurvation, aller vers le rassembler, maitriser le tracé, contrôler la rectitude de l’abord et sur le saut.


Animation

Conditions :

- Public

- Matériel

- Lieu

Fondamentaux dominant : avancer, équilibrer, tourner

Objectifs :

- Techniques

- Sensoriels

- Sociaux

- Psychomoteurs

Fabulation thème :

Temps / objectifs / situation / consignes

Tache : règle du jeu

Organiser, animer, surveiller : Le jeu


Mise en place d’une séance

Classer les fiches pédago par fondamentaux (avancer, tourner, équilibrer)

Temps

Objectif (être capable de …)

Situation

Dispositif / Tâche

Consignes

Observables

Critères de réussite

Analyse technique

Exemple 1 : découverte du galop :

Temps

En minute

Objectif (être capable de …)

Situation

Dispositif / Tâche

Consignes

Observables

Critères de réussite

15

Détendre son cheval au pas en équilibre puis au trot

Manège

Déplacer son cheval au pas en équilibre puis au pas. transissions

Se tenir sur pied en serrant les mollets

Se tenir au dessus de sa selle, rester stable au dessus de ses pieds

5 pour énoncer la consigne ci-dessous






15

Galoper QQ foulées

En reprise au pas faire partir un par un les cavaliers pour récupéré la file

Pousser son cheval, tenir le collier, serrer les mollets, se mettre au dessus de ses pieds, regarder loin.

Le tour complet de galop en équilibre

Faire qqn foulées de galop seul en suivant le tracé de la piste

5 explications des consignes






15

Galoper QQ foulées

Dispersion du groupe (aucun sur la piste)

Le cavalier prend la piste et fait un tour de galop

Le tour complet de galop en équilibre

Faire qq foulées de galop seul en suivant le tracé de la piste

5

Retour au calme

Marcher au pas

Marcher au pas dans le manège



Les minutes restantes seront utilisées pour faire un bilan de la séance et énoncé les points positifs.

O

ORGANISATION D’UN CONCOURS

(Concours club ou ponam)

Déclaration

Adhésion du club à la FFE un an (du 01/09 au 31/08)

Réunion pour l’établissement d’un calendrier au niveau départemental, cantonal, local

Envoyer la DUC (Déclaration Unique de Concours) au CRE

Les concours du 1er semestre : DUC à envoyer au CRE entre le 01/09/n-1 et le 15/11/n-1 pour qu’ils paraissent dans la REF de Janvier

Les concours du 2em semestre : DUC à envoyer au CRE entre le 01/03/n au 15/05/n pour qu’ils paraissent dans la REF de Juillet

La sécurité

Prévenir un médecin

Avoir un local pour mettre le blessé à l’abri

Matériel nécessaire : matelas coquille, brancard

Demande d’autorisation

Licence provisoire de débit de boisson (demander à la mairie)

Blocage des voies d’accès (gendarmerie)

Déclaration à la SACEM

Tableau d’affichage

Liste des partants

Plan du parcours (barème, temps accordé, temps limite, distance, nb d’obstacle, combinaisons, barrage)

Horaires

Nom du président, de l’organisateur, du vétérinaire, du maréchal

Chef de piste : Trace, règle la hauteur, le genre des obstacles et les distances dans les lignes.

Le chef de paddock : il est responsable des chevaux et des cavaliers dans la zone du paddock (ne pas barrer les chevaux, les protections des chevaux et la hauteur des barres)

Les horaires

Affiche des résultats (facultatifs)

Engagement

2 Mercredi avant la date du concours. Mercredi 12H

Cavalier sous X : Nom du cavalier, numéro de licence 5em catégorie (sinon certificat médical)

Changement de cavalier : nom du cavalier et numéro de licence.

Les cavaliers sous X ou les engagements terrain passent en 1er de l’épreuve

Les chevaux : N° SIRE inscrire le cheval au service informatique de la FFE

Les cavaliers : licence pratiquant + certificat médical+ pour les moins de 18 ans, autorisation parentale

LA FFE prend :

- 3,05€ sur un engagement à l’avance

- 9,15€ sur un rattrapage ou un engagement sur place

Les résultats

Les résultats sont envoyés au SIF sous 8jours, sinon s’ils sont envoyer entre 8et 15 jours le SIF prend 50% sur les engagements si les résultats sont envoyés au-delà le SIF prend la totalité.

Exemple pour un engagement de 12€ :

Moins de 8 jours : 12-3,05

De 8 à 15 jours : 12/2-3,05

15 jours et + : 0€

Documents

Pour le SIF :

- L’original des listings

- Fiches individuels

- Listing complémentaire

Envoi des résultats à la FFE pour le championnat de France à la Motte Beuvron


Les soins

Détection du cheval malade

- Connaitre les habitudes des chevaux

- Litière bien étalé, état du box

- Etat des crottins (humide, moulé et vert)

- Vérifier l’abreuvoir

- Cheval calme (transpiration, état des muqueuses

- Vérification des membres (engorgement, atteintes, abcès, chaleur des membres)

- Vérifier l’état des fers.

- Vérifier la souplesse du dos.

Vérifier le passage de sangle, le garrot et les commissures des lèvres. Ces problèmes sont causés par un matériel sale et mal adapté.

1er Vérifications :

- Prendre la température (37,5 à 38°c)

- Prise de pouls digité (on ne doit pas le sentir si le cheval va bien)

- Fréquence cardiaque (36 à 44 battements/minute au repos)

- Fréquence respiratoire (12 à 18 respirations/ minutes prise de pouls au flan)

- Ecouter le transit

- Pli de peau (désidratation)

- Muqueuse rose (appuyer sur la lèvre inférieur, elle doit rosir aussitôt)

- Pince à sonder pour les sabots

Ramener un cheval sec et calme

Colique

- Cheval agité, transpiration, pas ou peu de crottins

- Le cheval se regarde ses flans

- Box remué, le cheval gratte

- Vérifier la ration

- Naseaux dilaté

- Reléve la lévre supérieur

- Se campe pour uriner

- Le chaval s’assit

1er soins lors d’une colique :

- Lui mettre un panier avec un seau d’eau

- Injecter un antispasmodique (pour 500 kg 20cc) en intraveineuse et noter l’heure, la dose, le non du produit

- Température

- Ecouter le transit

- Fréquence cardiaque

Appeler le vétérinaire

Marcher le cheval et le couvrir (le faire sauter, le mettre dans un van et rouler)

Les sources d’une colique

- Stress

- Changement d’alimentation

- Paille ou du foin fraichement coupé

- Boire à trop grande dose après un effort

- Température extérieur trop élevée

- Température de l’eau trop froide

Après une colique :

- Barbotage (soupe de 3l de son et 0,5l d’avoine + de l’huile)

- Reprendre le travail progressif

- 1 jour de diète complète


Les boiteries

Occultation à l’arrêt :

- Chaleur

- Déformation

- Douleur

- Souplesse du dos

- Température (en cas de fourbure)

- Test de la planche : mettre le pied sur la planche et la lever

- Test de la pince à sonder

- Regarder le pouls digité

Osculation en mouvement :

- Marché en ligne droite pour vérifier si l’engagement des postérieurs est identique :

o au pas au trot sur du dur (douleurs osseuses)

o idem sur du mou (douleurs articulaires, tendineux)

- la tête du cheval va aller du côté du membre sain

- Test de flexions sur les 4 membres

- Sur un cercle (sol dur puis mou)

Abcès au pied : utiliser la rainette pour crever l’abcès

Tendinite (1er soins):

- Doucher les membres

- Argile sous bandes

- Glace pilé

- Mettre les cotons dans de l’eau blanche

- Anti-phogistine (crème) fois par jour

- Trotter sur le dur et cheval au repos

- Mettre sous bandages

Quelques noms de médocs :

Ekyflogyl : mettre sur une brosse à dent et frotter à l’endroit de la liaison

Equipalazone / phenylartrite : anti-inflamatoire

Feu liquide (onguent rouge) : brûle et ressert les tendons


Pédagogie théorique

Les différentes phases de l’apprentissage :

- Observation

- Réflexion

- Expérimentation

- Découverte

- Vérification

Phase de l’apprentissage

Intervention du moniteur

Rôle de l’élève

Présentation de l’opération

Définit la situation problématique le plus précisément possible

Réfléchit

Expérimentation

Observation, contrôle, s’informe, reste en retrait sans cesser d’être présent

Tâtonne, observe, explore et fait l’inventaire de ses possibilités motrices

Elaboration

Suggère, guide, oriente la recherche du cavalier

Ajuste ses action, améliore, enrichit sa réponse

Confrontation (phase de verbalisation)

Mise au point, récapitule, explique, analyse, éventuellement démontre

Fait le bilan, compare, enrichit sa réponse

Exécution / verification

Assure la mise en application, corrige (redire les critères de réussites)

Exécute, affine ses gestes, vérifie et corrige

La reprise traditionnelle cercle la place à des approches différenciées en fonction des publics.

Le sportif doit agir pour apprendre.

La connaissance du résultat de son action est fondamentale : le sportif doit pouvoir reformuler et aboutir progressivement au résultat attendu.

Pour l’aider l’utilisation de repères spatio-temporels permet de favoriser le fonctionnement de la boucle d’apprentissage

La boucle d’apprentissage

Résultat mesuré

Choix d’un objectif en fonction des conditions particulières

Sélection d’un programme moteur

Mouvement

Espace

Evaluation de l’erreur


Proprioceptif (sensation)


Extéroceptif (visuel)

Connaitre le résultat

L’erreur peut-être liée à 3 aspects :

- Cognitif : ne comprends pas (plus d’explication)

- Affectif : avoir pour ou ne pas avoir en vie de faire (exo plus simple, changer de cheval, faire un jeu)

- Psychomoteur : n’y arrive pas

On ne peut pas se retrancher derrière la consigne

Le cavalier doit être dans l’action pour comprendre.


Caractéristique des tranches d’âge et psychologie du développement

Etude de l’évolution psychologique et cognitive de l’être humain de sa naissance à sa mort.

Etude morphologique, fonctionnel, motrice et social étant donnée l’importance des aspects dans le cadre d’une activité sportive.

La phycologie est divisée en plusieurs segments qui correspondent à une époque de la vie :

- Petite enfance : 3 à 4 ans

- Moyenne enfance : 4 à 8 ans

- Grande enfance : 9 à 12 ans

- Puberté : 12 à 15 ans pour un garçon et de 12 à 14 ans pour les filles

- Adolescence : de 16 à 21 ans pour les garçons et de 14 à18 ans pour les filles

- Adultes : 21 et +

- Age avancé

Développement physique, intellectuel, affectif et social de l’être humain dépend de l’interaction entre des facteurs biologique et des influences de l’événement comme la famille, l’école, le métier, l’activité sportive, la religion ou de la culture.

Il est donc indispensable de possédé en plus des connaissances équestres de posséder des connaissances sur l’être humain afin d’optimiser son enseignement.

Petite enfance :

3 – 4 ans tout est jeu/je 100 % animation 4 à 6 enfants par cours durée 15 minutes.

L’enfant a un besoin énorme de mouvements et de jeux. Ainsi avec beaucoup d’animations et de découvertes du jeu, nous allons tâcher de lui faire acquérir tout un répertoire d’habiletés motrices au moyen d’obstacles, de ballons, de rythmes… Il doit toujours être en situation d’apprentissage. Les enfants d’âge pré-scolaire ont un besoin de possibilités motrices variées qui sollicitent leur imagination, les incitent à courir, sauter, ramper, grimper, pratiquer des exercices d’équilibre, se suspendre, tourner sur eux-mêmes, se balancer, tirer, pousser, porter. Les capacités motrices contribueront au développement des rapports sociaux et au sentiment de sa propre valeur. Le temps de l’activité sera court.

L’entraînement, en termes de gestion et d’organisation, est le même pour tous, tous facteurs de performance confondus. Néanmoins l’entraînement des enfants ne doit en aucun cas être le même que celui de l’adulte. Mieux, il doit être adapté à l’âge physiologique de l’individu et donc répondre efficacement aux capacités et aux besoins de ce corps en plein développement. La maturation de l’organisme et l’apprentissage déterminent le développement des diverses qualités biologiques ainsi que les coordinations motrices. Aussi, nous devons développer de façon optimale les habiletés et les techniques motrices diverses et élargir le répertoire moteur ou l’expérience motrice. La maturation est un processus physiologique, génétiquement programmé, spécifique à chaque espèce, par lequel une cellule ou un organe atteint son développement complet dans un milieu normal. Elle permet alors l’expression efficace de la fonction de l’organe. Elle n’est pas directement liée à l’âge calendaire (chronologique) mais détermine l’âge biologique.

2. Le premier âge scolaire :

L’enfant est fougueux, plein d’envie pour le sport, psychologiquement équilibré, optimiste, petit, léger, mince et élancé. Il y a une amélioration sensible de la capacité de combinaison de différentes habiletés dans des mouvements rapides et il y a une amélioration de la diversification du rythme des actions motrices. Les dispositions psychophysiques sont donc favorables à l’acquisition d’habiletés motrices et à l’apprentissage d’un grand nombre de techniques de base. L’entraînement polysportif doit être une préoccupation primordiale.

3. Le second âge scolaire :

C’est la tranche d’âge qui est la meilleure pour apprendre. Une carrure augmentée, une harmonie des proportions physiques, un accroissement de la force assez marqué par rapport au faible accroissement de la taille et du poids permettent à l’enfant de parvenir à une maîtrise physique assez importante. Nous devons de plus le faire travailler afin qu’il acquiert et maîtrise des mouvements complexes demandant un important effort d’orientation spatio-temporelle. Cette tranche d’âge est une phase clé pour les capacités motrices ultérieures, il faut lui faire faire des mouvements précis et corrects pour ne pas être contraint par la suite à un réapprentissage. On améliorera de plus les exercices de force, de vitesse (la vitesse de réaction peut déjà atteindre, à la fin de ce stade, les valeurs obtenues par les adultes) et d’endurance. L’amélioration des facteurs cardio-pulmonaires des enfants est significative. La VO2 max et le volume cardiaque par kilogramme de poids corporel atteignent des valeurs proches de celles des adultes.

4. Première phase de la puberté :

Les modifications brutales de l’existence physique (apparition de la sexualité, augmentation de taille et de poids qui engendrent parfois une détérioration du rapport force/poids) occasionnent une perturbation psychique, liée de plus à une instabilité hormonale. Le désir d’autonomie et le besoin d’être responsable de soi-même jouent un rôle essentiel. On assiste de plus à une diminution des coordinations spécialisées. Néanmoins cette première phase pubertaire est celle de l’entraînabilité maximale des facteurs de la condition physique. On augmentera la charge afin d’améliorer les capacités de la condition physique et on stabilisera la technique et les capacités de coordination. Attention cependant aux erreurs de programmation de l’entraînement (trop dur, trop monotone, sans interaction avec l’adolescent,…), car l’irrégularité de la motivation est l’une des causes d’abandon de l’activité sportive.

5. Deuxième phase de la puberté :

Cette phase se caractérise par un ralentissement de tous les paramètres de croissance et de développement. La rapide augmentation de la taille est remplacée par une augmentation de la carrure. Les proportions s’harmonisent et permettent d’améliorer les capacités de coordination. La stabilisation du psychisme, l’harmonie des proportions physiques, l’intellectualité croissante et l’amélioration de la faculté d’observation ne font que l’adolescence est le second âge d’or de l’apprentissage. Les mouvements les plus difficiles s’apprennent plus rapidement et se retiennent mieux. L’entraînement sera volumineux et intense.


Commenter une reprise de dressage

Impression générale : donner une note

- Allures :

o franchise, correction des allures et stabilité de chaque allure

o souplesse

o régularité, stabilité

- Impulsion :

o Désir de se porter en avant,

o franchise des transitions montantes

- Soumission :

o Cheval sur la main

o Correction de l’attitude

o Mise sur la main

o Obéissance aux aides

- Tracé :

o Correction du tracé

- Cavalier :

o Position et assiette du cavalier

o Attitude générale

o Fonctionnement

o Aisance

La précision :

- Elle témoigne de la souplesse et de la soumission du cheval.

- Les mouvements exécuté ou terminé au point fixé au moment où le buste y arrive sauf pour le doublé.

- La précision est en fonction du niveau de la reprise

- Tout manquement à la précision fait baisser la note

L’arrêt :

- Cheval droit, d’aplombs, attentif et immobile, encolure soutenu et le chanfrein. Prêt à repartir.

- Défaut : pas immobile, cheval se campe, qui recule, se traverse, plonge sur les épaules.

L’incurvation :

- Développe la flexibilité, aisance sur les courbe, rectitude, pouvoir obtenir le ploiement nécessaire aux 2 pistes.

- Améliorer la souplesse du cheval en développant la souplesse du dos

- Contrôler l’engagement du postérieur interne.

M. Decarpentry : «le travail sur le cercle fournit au cavalier de régler les mouvements du postérieur internet et permet de l’engager sous le centre » ;

L’infléchissement du bout de devant est la conséquence de l’action de la jambe intérieure et non de la main interne.

Galop à faux :

- Développe l’équilibre, la souplesse, l’amplitude et corrige les défauts de symétrie

- Prise d’équilibre

- Maintenir les aides du départ au galop à chaque foulé

- Ligne courbe en s’écartant peu à peu du grand côté

- Changement de main par demi-volte

- Départ directement au galop à faux

- Cercle à faux

- 8 de chiffre

- Avoir les épaules devant les hanches

- Défauts : repasse au trot : manque de souplesse et d’équilibre, manque d’impulsion, aide propulsive, désuni, croupe en dehors ( pb de jambe isolé, tombe à l’intérieur du cercle, jette les épaules)

Variation et transition d’allure :

- Flexibilité de la C.V. et de l’arrière main en développant le libre jeu des articulations

- Sacro-iliaque

- Coxo-fémorale

- Les allongements au pas :

o Ouverture de l’angle tête encolure

o La nuque ne doit pas être plus basse que le garrot

- Les allongements au trot et galop :

o Petit ouverture d’angle tête encolure

o Augmentation avec respect de la cadence


Présentation du « HUNTER »

Subtile mélange de dressage, de maniabilité, de confiance, de soumission,.

- Met en valeur de certaines qualités :

o rigueur technique,

o maitrise de soi,

o respect du cheval,

o esthétisme

o travail

o pédagogie de l’enseignant

Le cavalier est jugé sur son efficacité et discrétion

Le hunter est un outil pédagogique, la discipline est bonne pour tous, autant pour l’entretient (physique et phycologique) du cheval

Ensemble d’exercice gymniques d’assouplissement, mise en souplesse et travail d’équilibre

Hunter Equitation : (note sur 100)

- Epreuve figures imposées :

o contrat de foulées,

o sauts au trot

o courbe à faux

o changement de pied

o saut sans étrier

o slalom

o saut de puce

- Epreuve de maniabilité

- Grand prix :

Hunter Style cheval: (note sur 20)

- Tracé facile, distance bonne, voir longue, obstacle massif sautant


Commentaire C.S.O.

Impression général :

- Contrat de foulé

- Tracé (courbes)

- Obstacle

- Train – vitesse (350 m/Minute)

Commentaire CROSS

Pas de contrat de foulé

Tracé

Obstacles : différents profils, directionnel

Cadence

Train vitesse