vendredi 11 janvier 2008

Détection du cheval malade

Détection du cheval malade

- Connaitre les habitudes des chevaux

- Litière bien étalé, état du box

- Etat des crottins (humide, moulé et vert)

- Vérifier l’abreuvoir

- Cheval calme (transpiration, état des muqueuses)

- Vérification des membres (engorgement, atteintes, abcès, chaleur des membres)

- Vérifier l’état des fers.

- Vérifier la souplesse du dos.

Vérifier le passage de sangle, le garrot et les commissures des lèvres. Ces problèmes sont causés par un matériel sale et mal adapté.

1er Vérifications :

- Prendre la température (37,5 à 38°c) : toujours avec quelqu’un à la tête.

- Prise de pouls digité (on ne doit pas le sentir si le cheval va bien) : à l’artère maxillaire pour la pulsation cardiaque, aux artères digitées pour chacun des 4 pieds. Le pouls digité ne se sent normalement pas , sauf sur un cheval ferré de frais. Son existence signe donc un problème de pied plus ou moins grave : du simple abcès à la fracture ou à la fourbure gravissime.

- Fréquence cardiaque (36 à 44 battements/minute au repos) : compter les pulsations sur 15 secondes et multiplier par 4. Recommencer au besoin pour faire une moyenne. S’écoute derrière le coude gauche ou se prend à l’artère maxillaire. Adulte : varie selon l’entraînement et l’exercice de 36 à 44 bpm.

- Fréquence respiratoire (12 à 18 respirations/ minute prise de pouls au flan) : compter sur 15 secondes et multiplier par 4. Plus facile en regardant le fuyant du flanc, et si quelqu’un vous donne un top. Avec un stéthoscope, écouter sur la trachée. Adulte : 12 à 18 mpm.

- Ecouter le transit : 4 zones à vérifier : en haut et en bas, à gauche et à droite. Doit être présent en régulier partout. La défécation n’est pas une preuve absolue de transit.

- Pli de peau (désidratation)

- Muqueuse rose (appuyer sur la lèvre inférieur, elle doit rosir aussitôt) : à l’intérieur des lèvres, à la 3ème paupière et muqueuse vaginal des juments (dangereux). Normalement : rosées et humides ; si violettes, bleues, blanches, porcelaine, jaunes, oranges ou même roses à points rouges : problème grave.

- Pince à sonder pour les sabots

-

Ramener un cheval sec et calme

Prendre la température et écouter le transit

Isoler si risque contagieux

Appeler le vétérinaire si les symptômes sont importants ou qu’ils durent.

Histoire

L’histoire de l’équitation

Quelques dates :

- -426 av JC :

o Xénophon d’Athènes

§ art équestre

- 17em siécle :

o Pluvinel (1556-1606)

§ Cheval en avant

§ Livre : Airs relevés

- 18em siècle :

o La Guérinière (1688-1751) manège des Tuileries

§ Epaule en dedans

§ Livres : « Ecole de cavalerie », « Eléments de cavalerie »

- 19em siècle :

o Comte d’Aure (1799-1863) Manège de Versailles puis école de Saumur

§ Dressage du cheval dans son ensemble

§ Livres : Traité d’Equitation

o François Baucher (1796-1873) école de Paris

§ Cession de nuque, mâchoire, encolure

§ Livres : « Méthode d’Equitation basée sur les nouveaux principes »

- 20em siècle :

o Alexis l’Hotte (1825-1904) élève des deux précédents. Ecole de Saumur

§ Calme en avant et droit

§ Livre : questions Equestre

o De Carpentry (1878-1956)

§ Conquête de l’impulsion, abaissement des hanches

§ Livre : Equitation Académique

o Caprilli (1868-1907)

§ Monte en avant à l’obstacle

o Danloux

§ Position du Z

Le cheval, conquête de l’homme, a nécessairement suivi celui-ci dans tous les stades de son évolution.

Il est probable, et les textes classiques depuis la bible et Xénophon le démontrent, que l’art de dresser les chevaux, d’abord pour l’utilité de la guerre ou de la chasse, ensuite pour le plaisir, conduit inévitablement à ce constat : « de la douceur avant toute chose ».

La succession des nombreuses écoles de dressage depuis l’antiquité raconte cette longue marche de la brutalité des instruments de coercition (contraintes) étonnants, voyez les mors au musée de Saumur, jusqu’à cette douceur des moyens dont l’Ecole Française, à juste titre, s’enorgueillit depuis la Guérinière parce qu’elle procure au couple cavalier-cheval, ce qu’il faut avant tout pour priser l’harmonie.

L’amateur qui consulte la très belle anthologie de la littérature équestre de Paul Morand est frappé par les variétés et l’étrangeté des procédés dont nos ancêtres soulignaient l’emploi comme propice à obtenir un parfaite soumission.

L’école Napolitaine

Celle-ci remonte fort loin dans le passé. En effet, au 8éme siècle avant notre ère, la région napolitaine, la Companie, voit débarquer les colons grecs de grande renommée cavalière :

- Les Hippobotes (nourrisseurs de chevaux)

- Les Etrusques (originaires des Balkans)

Progressivement, ces colons deviendront les cavaliers campaniens. Nous les retrouverons au début du moyen âge. Entre temps, les principes de l’équitation avaient été formulés pour la 1er fois par un cerveau grec : Xénophon d’Athènes et son Art Equestre sur les principes desquels nous vivons encore. Tous les auteurs modernes reconnaissent la valeur de base de la formulation grecque (d’Aure, Decarpentry, Henriquet, …)

L’empire romain d’Occident s’écroule au 5em siècle. Au siècle suivant, l’empire romain d’Orient (les byzantins) reconquiert une partie des provinces perdues. Les Byzantins reperdront progressivement certaines provinces, mais se maintiendront assez longtemps, jusqu’au 12éme siécle au Campanie.

Bien entendu, les Byzantins avaient aussi gardé la tradition de la Grèce antique et les principes de Xénophon.

Au 12ème Siècle, l’homme de cheval disposait :

- De la ferrure à clous

- De la selle et de l’étrier

- Du double mors

- Des éperons

De la rencontre des cavaliers campaniens et des écuyers byzantins va naître en 1134 à Naples une académie d’2quitation que l’on suit à la trace jusqu’à la renaissance italienne (15ème siècle)

La Renaissance :

Jusqu'à la Renaissance, qu’il s’agisse de Cesare Fiaschi, auteur du 1er traité des Embouchures, de Féderico Grisare ou même de Samon de la Broue qui a écrit « Le Cavalier Français3, la sévérité des procédés fait dresser les cheveux sur la tête.

Le XVII siècle :

Richelieux démantèle les châteaux, symboles de la puissance féodale et néglige l’élevage. Monsieur de Pluvinel, maître de Louis XIII, a recours aux races étrangères. Il invente le travail entre deux piliers et l’usage de la chambrière, mais recommande la douceur.

M. De pluvinel (1556-1605)

- Persade - Ballotade

- Ruade - Cabriole

- Courbette

Pour conserver coûte que coûte la gentillesse, c’est toutefois toujours la récompense après le châtiment qui permet de ménager les bonnes grâces du Seigneur Cheval.

M. De Pluvinel énonce cette vérité première : « le cheval doit être en avant »

C’est à partir de son influence que l’empirisme limité au bon usage d’une monture de guerre ou de chasse se dépasse et tend à s’élever au niveau du raisonnement et de l’art, établissant les fondements d’une véritable esthétique.

Le XVIII

Et les liens pour les biographies des cavaliers célébres :
http://pagesperso-orange.fr/mbigo/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

Le XIX

Vers 1814, Saumur va connaître son essor où vont se heurter, au départ, les élèves indirects de Versailles et des disciples de la nouvelle doctrine enseignée par l’Auvergne à l’Ecole militaire. Le 19ème siècle sera le siècle de l’affrontement de deux grands maîtres : D’Aure et Baucher.

La conclusion de cet affrontement sera tiré par le Général l’Hotte à la fin du 19ème et par Decarpentry durant la 1er moitié du 20ème siècle.

L’impulsion doit avoir pour le cheval dressé l’intensité lancinante d’un besoin physique impériexu et permanent.

Plus un procédé est puissant, plus les dangers de son application sont grands. Ce n’est pas le relèvement de l’encolure, c’est l’abaissement des hanches qui est le but à atteindre.

La Révolution du début du XXème siècle :

La fin du 19ème à vu l’essor de l’équitation sportive (après 1870) : point to point, steeple, cross, raids, concours de sauts.

Le cheval devenait un compagnon de sport, c’est l’époque du Caprillisme. Caprilli : officier italien qui élabore le système de monte en avant à l’obstacle et ouvre la voie à l’équitation moderne d’extérieur.

Entre les deux guerres mondiales, les cavaliers militaires français étaient parmi les plus brillants du monde, c’est la grande époque des de Laissardière, Bizard, Clavé … Il faut noter que teus ces cavaliers militaires ne sont pas issus de Cadre Noir car la méthode de monte à l’obstacle officialisée par Danloux, écuyer en chef, nuit à la solidité et à l’efficacité. « seuls,ceux qui ont appliqué le principe contraire à la doctrine Danloux, ont réussi » (Gudin de Vallerin).

Après la guerre 39-45, la motorisation, les différents conflits et certains errements techniques font que, à part quelques exceptions hors Cadre Nori, l’équitation militaire est en régression. Fontainebleau devient le centre des sports équestres militaire.

Ce sont les civils qui prennent le relais avec d’Orgeix, d’Oriola, de Maillé, … . Ils seront suivis par : Rozier, Roche, Roguet, Parot, Navet, …, d’Esmé en dressage, le Goupil en CCE

Parallèlement à cette équitation de haut niveau de plus en plus de civile, la France des centres équestre prend son essor progressivement à partir des années 50 avec la création des SHR, SHU, SHN et avec l’aide importante de l’armée et surtout des haras nationaux.

On peut dire que les années 70 marqueront vraiment le début d’une certaine démocratisation de l’équitation avec :

- Le développement et la création de Centres Equestres de plus en plus exploités par des indépendants.

- L’apparition des poneys clubs

- Le développement du Tourisme Equestre

- Le retour à la mode d’un certain nombre d’activités : jeux, voltige, l’attelage, les raids, …

Les handicapés

Les handicapés

30 % des handicapés sont d’origines accidentelles.

800 000 allocataires de l’allocation des adultes Handicapé

500 000 Pensions d’invalidité

135 000 Scolarisation normal

110 000 Scolarisation spécialisé

100 000 sont dans des centres médico-sociaux

1/3 sont au chômage

Classification internationale (Organisation Mondiale de la Santé OMS)

- Déficience : perte de substance ou altération d’une fonction ou d’une structure psychologique, physiologique ou anatomique

- Incapacité : correspond à toute réduction résultant d’une déficience partielle ou total de la capacité d’accomplir une activité d’une certaine façon ou dans les limites considéré comme normal pour l’être humain.

- Handicape (désavantage sociale) : est le préjudice qui résulte de sa déficience ou de son incapacité et qui limite ou interdit l’accomplissement d’un rôle, considéré comme normal contenue de l’âge, du sexe et du facteur sociaux culturel).

Exemple :

- Déficience : amputation d’une jambe

- Incapacité : problème pour se déplacer

- Handicap : mobilité réduite, problème d’intégration social

Loi de 1975 : Art 1 : La prévention est le dépistage des handicapés, les soins, l’éducation, la formation et l’orientation professionnel, l’emploi, la garantie d’un minimum de ressource, l’intégration social, l’accès au sport et au loisir du mineur et de l’adulte ? Handicapé physique sensoriel ou mentaux constitue une obligation national.

Droit au loisir, soins, travail, éducation.

- L’éducation : Art 22 de la déclaration des droits de l’homme. « L’instruction est le besoin de tous. La société doit favoriser de tous son pourvoir les progrès et mettre l’instruction à la porté de tous citoyens. »

1975 : maintient en milieu normal

- Loisir : le sport et le loisir ont été considéré comme un luxe, mais l’intégration est de plus en plus souhaité par les handicapés.

- Soins : nécessité

- Travail : le succès de l’insertion professionnel pour les personnes handicapés conditionne leur insertion dans la société. Le travail occupe une place importante dans la société.

Handicapé moteur :

Limitation plus ou moins grave de la mobilité, c’est à dire de la faculté de se mouvoir, mais aussi de celle d’agir notamment aux moyens de ses membres supérieurs.

Localisation de l’atteinte :

- Monoplégie : 1 membre paralysé

- Diplégie : 2 ‘’ ‘’

- Tétraplégie : 3 ‘’ ‘’

- Quadriplégie : 4 ‘’ ‘’

- Hémiplégie : 1 côté

- Paraplégie : 2 membres inférieurs

Les origines du handicap moteur :

- Cérébrale : infirmité motrice cérébral, difficultés de coordinations entrainants des difficultés motrices. Causes diverses : accident lors de la période fœtal.

- Spina-bifiona : polio : attaque par un virus de ma moelle épinière, entraine une paralysie plus ou moins étendu

- Spina-Bifida : atteinte de développement de la colonne : paraplégie

Handicap musculaire : myopathie ou dystrophie musculaire progressive, se traduit par un affaiblissement progressif (motricité).

Les principales aides techniques : tous les moyens externes de compensation du handicap. L’aide technique est un outil, un appareil, ou un instrument allant du plus simple au plus haut niveau technologique.

Trois catégories :

1) Les orthèses : dispositif ou appareil permettant des correction grâce auquel une fonction peut être normalement rempli (ex : corset, chaussures orthopédique, …)

2) Les prothèses : remplace un organe absent

3) Auxiliaire d’ambulation : cannes, béquilles, fauteuil, …

Handicap sensoriel :

Handicap visuel : non voyant : personne ayant une visions nul ou quasi-nul (>1/20 après correction)

Mal voyant : (amblyope) vision mauvaise entre 1/10 et 4/20 après correction

Nature des attentes (amétropie) myopie, presbytie, astigmatisme, déformation du fond de l’œil, rétine nerf optique

Aides techniques : opération

Le handicap auditif : perte auditive >= 90 décibel

Sourd : surdité de transmission : altération de l’oreille moyenne (otite chronique)

Surdité de réception : altération de l’oreille interne

Surdité mixte : les 2

Mal entendant : accède au langage parlé mais plus ou moins perturbé par l’auditif

Aides techniques : langage des signes : langue à part entière (mains, visage, corps), appareil auditif.

Dactylologie : langage gestuel, alphabet donnant un code des correspondance entre chaque lettre de l’alphabet et aux positions des doigts de la main.

Oralisassions : apprendre à n sourd à parlé, reconnaitre la parole, lecture labiale

Amplification : miniaturisation des appareils auditifs.

Handicap intellectuel : sont définit au référence mental après évaluation du QI

- Retard mental profond : QI<20,>

- Retard mental sévère : 2034 : individu pouvant apprendre les gestes simple.

- Retard mental moyen : 3549 : pouvant acquérir des moyens simple de communication, des habitudes d’hygiènes et de sécurité élémentaire, habilité élémentaire simple. Aucune notion d’arithmétique, de lecture.

- Retard mental léger : 5070 aptitude pratique, la lecture ainsi que des notion d’arithmétique grâce a une éduction spécialisée et que l’on peut amener à une certaine autonomie social.

L’état de la recherche ne permet pas de dire les causes du retard pour les Retard mentaux profond, sévères ou moyens : cause organique prévale.

Pour les Retard mental léger : cause phycologique, sociaux économique et culturel.

L'accueil

L’accueil

Bien accueillir : cerner ses besoins et lui proposer une réponse adapter

1er contact :

L’écoute est une phase d’accueil, l’acquiescement et la reformulation, c’est l’écoute active.

La prise de congés doit permettre de récapituler les engagements.

L’accueil que nous faisons aux clients est important, c’est le 1er contact, c’est celui qui marquera le plus longtemps le client. C’est un acte quotidien. Il est déterminant dans la représentation de la personne et de son institution que l’on représente.

Passage entre une situation passé et avenir. Fonction personnel, bénéfique pour la personne accueillit.

Reception administrative

Bureau indiqué (accueil, reception, secrétariat), téléphone (standard, avec un message sur le répondeur)

Parking propre

Indication d’orientation dés le parking

Bureau propre, chaleureux (plante, canapé) lumineux, assez grand, rangé, non fumeur

Affichage obligatoire, disposition des publicités

Accueil Physique (propre à nous)

Paraître, sourire, tenue vestimentaire

Attitude : être ouvert, aller au devant le la personne, disponible, être à l’écoute, savoir se que la personne à besoin. Cibler ses désires.

Quatre phases d’accueil :

1- Prise de contact : moment de présentation de soi et présentation de la structure

a. Caractéristiques : courte, immédiate, sympathique

b. Techniques : sourire, serrer la main, se définir

2- L’écoute :

a. Caractéristiques : active et attentive

b. Techniques : le regard, ne par couper la parole, questionner, acquiescement et reformulation

3- La réponse :

a. Caractéristiques : concise, adapté, clair, rapide, réponse honnête et positive

b. Techniques : connaitre les services, sélectionner la réponse adaptée, proposer des solutions alternatives, éclaircir et résoudre les objections.

4- La prise de congé :

a. Caractéristiques : amiable, cardial, courte, positive

b. Techniques : reformulation, récapitulation, formule de politesse

L’accueil est une action quotidienne et personnalisé

Connaitre les prénoms ou les noms des clients

Club house :

Propre, chauffé, accès visuel aux structures, mise à disposition des boissons, confortable, décoré.

Sanitaire :

Indiqué et propre

La communication

La communication

La pédagogie est l’art de transmettre des connaissances, mais la transmission seul des données n’est rien, il faut qu’elle soit comprise par l’enseigné. Se faire comprendre de son élève peut s’avérer difficile. La communication comporte 2 visées distinctes :

- Transmettre un savoir

- Définir une relation juste entre les interlocuteurs

Pour communiquer correctement il est nécessaire d’avoir des connaissances sur le public que l’on a en face de soi. Mais il faut aussi se connaitre soi-même.

Intérêt d’une bonne communication.

Le métier d’enseignant c’est d’avoir la diversité de connaissance et d’aptitude. L’enseignant doit avoir des compétences technique et pédagogique s’ajoute d’être un bon psychologue. Avoir de l’aisance dans les rapports humains, et de posséder des talents d’animateur.

Qualité humaine

Rester intègre et juste, avenant, disponible, d’humeur égale. Il faut avoir une parfaite maitrise de la communication, puisque l’acte pédagogique est de transmettre des connaissances et des techniques.

Communiquer ne peut se rapporter à un simple processus d’émission suivi de l’exacte réception de l’auditoire.

L’état émotionnel de l’enseignant, sa personnalité mais aussi celles de ses élèves, plus ou moins réceptif, ou des événements extérieurs peuvent faire obstacle à la communication.

La personnalité de l’enseignant peut apporter une distorsion dans l’information qu’il exprime.

La conception d’une notion ou d’un geste qu’il veut enseigner et nécessairement subjective.

L’enseignant sera plus ou moins habile à employé le mot ou le geste à traduire en sa pensé, à suivre l’enchainement logique de son enseignant.

L’élève est plus ou moins réceptif en fonction de l’âge, de la qualité physique, saturation et même s’il a écouté ou regardé attentivement il ne peut pas comprendre le message de l’enseignant.

70 % de prise de message lors d’une séance

Enfin les explications et démonstrations de l’enseignant peuvent être trouvées par un certain nombre d’événement étranger à la leçon.

mardi 1 janvier 2008

Liens Réglement et Cavaliers

Voici le lien pour le reglement 2008 : http://www.ffe.com/?cat=3&fic=/sport/reglements/projet_2008.html

Et les liens pour les biographies des cavaliers célébres :
http://pagesperso-orange.fr/mbigo/
http://fr.wikipedia.org/wiki/Accueil

bonne recherche